Le temps qu’il fait, 1989.
56 pages, 165 x 240 mm.
Quinze photographies noir et blanc accompagnent sept textes de prose avec l’intention de dire, d’une autre manière, ce territoire au sens animal du terme, une portion de campagne parcourue, visitée, presque chaque jour s’assurer d’y être seul ou pour s’en approcher encore plus.
Deux vaches, presque par hasard, mais aucune figure humaine. Cependant ces prairies, ces champs nus ne cessent de manifester (clôtures, sillons…) une action agricole antérieure, tout comme les textes attachés, eux, à des détails remarquables contre les murs des fermes, dont la présence humaine s’est pourtant détachée.
Ces photographies ont été prises avec un Leicaflex.
JLT
Critique :