UN JOUR QUI ETAIT LA NUIT
Gallimard, coll. Blanche, mai 2021.
304 pages, 140 x 205 mm.
4e de couverture :
Voilà réunis quinze récits menuisés au cours des récentes années. Un poète russe est tant amoureux qu’il va chevaucher la Volga, un homme de gauche grisé par son pouvoir sur quelques amis incline vers la dictature. C’est pour assister à une très particulière mise à mort que le village se rassemble. Et l’ingénieur de la mine de cuivre, est-ce lui qui a rencontré une actrice, Comment les trois paysans ivres ont-ils trouvé le trou de la serrure ? À l’évidence, le passé s’augmente d’un avenir ! Le sacristain qui tout à l’heure contait l’église voudra sonner les cloches et le marchand de bestiaux, son camion grand ouvert, redouble cris et coups de bâton sur le dos des vaches.
JLT
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Critique :
Pierre Campion, « Les plaisirs et la joie d’écrire », À la littérature…, 16 août 2021.
Richard Blin, « La Chair des choses », Le Matricule des Anges, n°225, juillet 2021.
Jean-Claude Leroy, « Jean-Loup Trassard en retour de mémoire », Outre l’écran (blog), 6 juillet 2021.