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Un parcours dans l'oeuvre de Trassard pour découvrir une écriture, un univers... Mais aussi des lectures audios à écouter, des galeries de photos à regarder...
Toutes les publications de Trassard, chez Gallimard et au Temps qu'il fait... Et aussi, les textes en revues, les livres d'artistes, la littérature pour enfants...
Pour découvrir l'oeuvre photographique de Trassard... A voir également, les dates et lieux d'accrochage, les livres, les clichés dispersés, les écrits autour de la photographie...
Le point de vue des critiques, les entretiens avec l’auteur… Mais aussi les travaux et les colloques consacrés à son œuvre, sans oublier une petite biographie…
Le travail de Trassard autour de la mémoire rurale… Défense et illustration du parler mayennais, vie du bocage, jeu de la ferme…
Pour découvrir les expositions de l'oeuvre photographique de Jean-Loup Trassard ...
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LA DÉMÉNAGERIE
roman.
Gallimard, coll. folio (n° 4409), 2006.
320 pages, 108 x 178 mm.
Photo de couverture par l'auteur.
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LA DÉMÉNAGERIE
roman.
Gallimard, 2004.
320 pages, 140 x 205 mm.
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4e de couverture :
En 1941 – donc sous l’Occupation – une famille de cultivateurs, sept enfants, quitte sa petite ferme pour une grande à cent kilomètres de là : préparatifs, voyage sur des charrettes, installation… À l’échelle bocagère, une sorte de Ruée vers l’Ouest !
Maître de champs plus vastes, Victor s’augmente lui-même sous les regards d’autres paysans et sa famille ressemble à celle des pionniers, sans que soit perturbée jamais l’entente avec Marguerite.
Nous sommes alors au cœur d’une ferme, lieu rarement exploré par la littérature, et les intempéries mémorables se mêlent aux travaux agricoles, tandis que vivement défile toute la vie rurale en cette période troublée, avec nombre de figures villageoises, ou animales, puis les événements de la Libération, et encore le mariage des filles… En fait, ce roman n’est que bavardage, comme autour de la table lorsque le jour est bas les histoires de ceux qu’on a connus s’appellent l’une l’autre entre les tasses. Ce serait sans fin s’il ne fallait – tiens, la pluie s’arrête – se lever, retourner à l’ouvrage.
JLT
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