Pour être informé des dernières parutions, des lectures, des colloques… Mais aussi des expositions photographiques, des vernissages…
Un parcours dans l'oeuvre de Trassard pour découvrir une écriture, un univers... Mais aussi des lectures audios à écouter, des galeries de photos à regarder...
Toutes les publications de Trassard, chez Gallimard et au Temps qu'il fait... Et aussi, les textes en revues, les livres d'artistes, la littérature pour enfants...
Pour découvrir l'oeuvre photographique de Trassard... A voir également, les dates et lieux d'accrochage, les livres, les clichés dispersés, les écrits autour de la photographie...
Le point de vue des critiques, les entretiens avec l’auteur… Mais aussi les travaux et les colloques consacrés à son œuvre, sans oublier une petite biographie…
Le travail de Trassard autour de la mémoire rurale… Défense et illustration du parler mayennais, vie du bocage, jeu de la ferme…
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Jean-Loup Trassard, Le temps qu’il fait a publié en 2014 un gros cahier sous votre nom : comment cette entreprise collective est-elle née ?
Dominique Vaugeois, professeur à l’Université de Pau, a d’abord organisé un colloque autour de mon travail puis, à cette occasion, elle a convenu avec Georges Monti de construire un volume qui ne soit pas de simples actes du colloque mais un ensemble plus complexe pour lequel ils m’ont demandé une participation, des inédits et des photographies, des listes de parutions, d’expositions et d’articles, pouvant fournir un outil de travail à quelque chercheur qui, dans le futur, me chercherait !
Simultanément sortait un petit livre de photographies intitulé Trouvailles…
Oui, c’est le treizième que Georges Monti me publie dans cette collection «Textes et photographies», et cette fois les photos sont en couleur. Il s’agit de minuscules objets récoltés au fil des années, comme une petite pierre ou un morceau de lave, avec envie, à leur propos, de photographier le presque-rien plutôt que le spectaculaire. En miroir devant chaque photo, un texte raconte comment le petit objet a surgi, un jour, de l’immensité du réel.
Cette même année 2014, L’Homme des haies que vous aviez publié chez Gallimard est paru dans la collection «folio». Est-ce que c'est une satisfaction pour vous ?
Bien sûr, puisque j’y vois la possibilité évidente de toucher un autre public, en général plus jeune. Et Louis Chevaillier qui dirige la collection «folio», m’a permis de jouer encore une fois à la ferme en lui proposant pour la couverture une figurine de mes anciens jouets photographiée devant une haie. L’homme moustachu tient en mains une fourchette de bois et une faucille, évoquant le travail agricole d’autrefois qui est l’heureux sujet de mon livre.