Pour être informé des dernières parutions, des lectures, des colloques… Mais aussi des expositions photographiques, des vernissages…
Un parcours dans l'oeuvre de Trassard pour découvrir une écriture, un univers... Mais aussi des lectures audios à écouter, des galeries de photos à regarder...
Toutes les publications de Trassard, chez Gallimard et au Temps qu'il fait... Et aussi, les textes en revues, les livres d'artistes, la littérature pour enfants...
Pour découvrir l'oeuvre photographique de Trassard... A voir également, les dates et lieux d'accrochage, les livres, les clichés dispersés, les écrits autour de la photographie...
Le point de vue des critiques, les entretiens avec l’auteur… Mais aussi les travaux et les colloques consacrés à son œuvre, sans oublier une petite biographie…
Le travail de Trassard autour de la mémoire rurale… Défense et illustration du parler mayennais, vie du bocage, jeu de la ferme…
Pour découvrir les expositions de l'oeuvre photographique de Jean-Loup Trassard ...
LA COMPOSITION DU JARDIN
texte & photographies.
Le temps qu'il fait, 2003.
72 pages, 165 x 240 mm.
C’est à cheval que l’on vient, à la fin du XVIIIe siècle, voir le terrain autour d’une maison qui se construit pour y créer les jardins. En ce temps-là le jardinier – qui aujourd’hui se dirait paysagiste – était à ses débuts. Un certain nombre d’années plus tard il se souvient de la confiance qui lui fut octroyée comme du dessein d’ensemble qu’il conçut alors pour tailler deux jardins et deux cours en se servant des pentes du terrain. C’est tout un jeu d’allées, de murs et d’escaliers qui se déplie sous sa plume élégante mais sobre. Plusieurs photographies dévoilent quelques angles autour de la maison ou dans son intérieur.
JLT
Aperçu :
L’idée de ces niveaux différents mais pas trop m’enchantait. Il ne s’agissait point de contrainte comme cela peut se voir en pays montagneux, mais d’un pur agrément. Il fallait que montées ou descentes fussent brèves et légères, qu’on s’en aperçut assez pour que le corps se plaise, tantôt en bas, tantôt en haut, et pas assez pour qu’il reçoive la plus minime des fatigues. Les terrassiers se crachaient dans les mains pour que des pioches ou pelles coupantes, ou pelles à sable nommées « palis », le manche à trop glisser ne leur échauffât la paume.
Lire un autre extrait de La composition du jardin sur le site des éditions Le temps qu'il fait...
Critique :